
Cette documentation décrit le Centre d'informations de Plasma.
Table des matières
- 1. Le Centre d'information de KDE
- 2. Les modules par défaut du Centre d'information de KDE
- 3. Remerciements et licence

Le Centre d'information de KDE vous donne une vue générale pratique et centralisée de votre système et de votre environnement de bureau KDE.
Le Centre d'information est composé de plusieurs modules. Chaque module est une application séparée, mais le centre d'information organise tous ces programmes dans un seul emplacement.
Cette section suivante détaille l'utilisation du centre d'informations. Pour des informations sur les modules individuels, veuillez consulter les Modules par défaut de KInfoCenter.
Le Centre d'information de KDE peut être démarré de trois façons :
En sélectionnant → → à partir du lanceur d'applications du panneau.
Un appui sur les touchesAlt+F2 ou Alt+Espace permettra l'affichage de KRunner. Veuillez saisir
kinfocenter
puis appuyer sur Entrée.Vous pouvez saisir kinfocenter & à toute invite de commande.
Ces trois méthodes sont équivalentes et produisent le même résultat.

Quand vous ouvrez le centre d'information, vous obtenez une fenêtre qui peut être divisée en trois parties utiles.

En haut se trouve une barre d'outils. Elle vous permet d'accéder rapidement à la plupart des fonctionnalités du Centre d'information de KDE comme obtenir de l'aide sur le module actuel et un menu d'aide.
Sur le côté gauche, vous trouverez une colonne avec un champ filtre en haut. C'est ici que vous choisissez le module à interroger. Pour naviguer à travers les nombreux modules KCM, cliquez sur le module dans la vue en arbre. Vous pouvez aussi utiliser les touches fléchées pour faire défiler les modules KCM et appuyer sur Entrée pour choisir le module. Ce dernier va maintenant apparaître dans le panneau principal de la fenêtre du Centre d'information de KDE. Certains éléments dans l'arbre sont classés, vous pouvez cliquer ou appuyer sur Entrée pour développer ou réduire la branche de l'arbre. Cela vous affichera les modules par catégorie. Vous pouvez faire un clic droit sur la liste des modules pour afficher les options suivantes :
: réduit les branches de l'arbre pour n'afficher seulement les catégories et les modules principaux.
: développe les branches de l'arbre pour afficher les modules.
: cela effacera les éventuels filtres que vous avez appliqués sur la liste des modules grâce au champ de recherche en haut.
Le panneau principal vous affiche des informations système sur le module choisi.

La section suivante vous donne une brève description de ce que fait chaque élément de la barre d'outils.
Ce bouton ouvre KHelpCenter avec la page courante d'aide du module d'informations.
KInfoCenter possède les éléments usuels du menu de KDE. Pour plus d'informations, veuillez consulter la section à propos du Menu d'Aide des fondamentaux de KDE.

Cette page propose un bref résumé concernant votre système, c'est-à-dire votre distribution, la version de KDE Plasma, la version de l'environnement de développement de KDE, la version de « Qt », la version du noyau et le type de système d'exploitationet dans la section concernant le matériel, des informations sur les processeurs, sur la mémoire et sur le processeur graphique.
Veuillez utiliser les informations de cette page si vous voulez demander de l'aide sur les forums d'entraide ou pour signaler un bogue sur le traqueur de bogues de KDE.

Ce module permet de suivre l'utilisation de la mémoire. Il est remis à jour en permanence, et peut s'avérer extrêmement utile pour mettre le doigt sur des goulets d'étranglement qui se produisent lors du fonctionnement de certaines applications.
La première chose à retenir est qu'il y a deux types de « mémoire » disponibles pour le système d'exploitation et les programmes qui fonctionnent en son sein.
Le premier type est appelé la mémoire physique. C'est la mémoire qui se trouve dans les puces à l'intérieur de votre ordinateur. Lorsque vous avez acheté votre ordinateur, elle était certainement désignée sous le nom de RAM (signifiant Random Access Memory, ou Mémoire à Accès Aléatoire).
Le second type est appelé mémoire virtuelle ou mémoire d'échange. Elle est en fait située sur le disque dur. Le système d'exploitation réserve une partie de l'espace disque à cet usage, et peut l'utiliser lorsqu'il arrive à court de mémoire physique. On l'appelle mémoire « d'échange » car le système d'exploitation y transfère des données dont il estime que vous n'aurez pas besoin dans l'immédiat, puis dans la mémoire physique ainsi libérée il transfère des données plus utiles sur le moment. Il a donc « échangé » des données inutiles dans l'immédiat pour d'autres plus utiles. La mémoire d'échange est moins rapide que la mémoire physique, donc le système d'exploitation s'efforce de conserver les données (surtout celles fréquemment utilisées) dans la mémoire physique.
La mémoire totale est la somme de la mémoire physique et de la mémoire d'échange.
La fenêtre est divisée en deux parties, une en haut et une en bas.
La partie supérieure vous indique la mémoire physique totale, la mémoire physique libre, la mémoire partagée et la mémoire tampon.
Chacune de ces valeurs est donnée en octets et en mégaoctets (un peu plus d'un million d'octets).
La partie inférieure comporte trois graphiques :
Mémoire totale (somme de la mémoire physique et de la mémoire virtuelle)
Mémoire physique
Mémoire virtuelle, ou espace d'échange.
Les zones grises représentent la mémoire libre, et les bleues et vertes la mémoire utilisée.
Astuce
Les valeurs exactes pour chaque type de mémoire ne sont pas essentielles et changent constamment. C'est leur évolution qui est pertinente.
Votre ordinateur a-t-il beaucoup de mémoire libre (zones grises) ? Si ce n'est pas le cas, vous devriez soit augmenter l'espace réservé à la mémoire d'échange, soit installer plus de mémoire physique.
En outre, si votre ordinateur se traîne, vérifiez la chose suivante : votre mémoire physique est-elle saturée et votre disque dur travaille-il constamment ? C'est le signe que vous n'avez pas assez de mémoire physique et que l'ordinateur compense en utilisant la mémoire d'échange, plus lente, pour des données même souvent demandées. En vous procurant plus de mémoire physique vous améliorerez le temps de réponse de votre ordinateur.

Le module d'informations sur les périphériques est un module qui affiche les périphériques. Il affiche tous les périphériques pertinents qui sont présents dans votre PC. Il est composé de trois sections : un afficheur de périphériques, un panneau d'informations et une liste UDI pour le périphérique actuellement choisi.
L'afficheur de périphériques affiche tous les périphériques actuellement détectés sur votre PC dans un arbre. Les catégories principales au début de l'arbre sont les catégories de périphériques, cliquez sur une catégorie réduite pour la développer et vice versa pour la réduire. Pour afficher des informations sur un périphérique, cliquez sur le périphérique dans l'afficheur, l'information s'affichera dans le panneau d'informations à droite. Vous pouvez faire un clic droit sur l'afficheur de périphériques pour afficher les options suivantes :
: réduit l'arbre pour n'afficher seulement les catégories principales.
: développe l'arbre pour afficher tous les périphériques fils.
: affiche toutes les catégories que les périphériques soient présents ou non dans ces catégories
: n'affiche que les catégories dont les périphériques sont présents.
L'affichage par défaut est de tout réduire lors de l'affichage des seuls périphériques pertinents. Veuillez noter que les périphériques affichés dans la liste de périphériques ne représentent pas tous les périphériques de votre ordinateur. Il n'y a que les périphériques qui ont été connectés via Solid.
L'afficheur de périphériques peut afficher les périphériques suivants :
ce sont les processeurs de votre ordinateur, nommés aussi CPU ( Central Processing Units ).
périphériques utilisés pour enregistrer les fichiers et les données de vos ordinateurs personnels(PCs).
Ce sont les périphériques vous permettant de vous connecter à un réseau ou à un autre PC.
Les périphériques de votre PC produisant des sons. Ils sont divisés en 2 catégories, les architectures de son ALSA et OSS.
ce sont les périphériques vous permettant d'afficher des vidéos en direct.
ce sont les périphériques connectés au port série de votre ordinateur.
ce sont des périphériques de lecteurs de cartes à puce.
périphériques utilisant les standards ouverts pour la télévision numérique.
Ce sont des boutons présents sur votre ordinateur personnel (PC) ou sur des périphériques externes.
ce sont les périphériques de batteries branchés à votre ordinateur portable.
périphériques présents quand vous branchez votre adaptateur pour courant alternatif (AC)..
ce sont les périphériques, comme un lecteur de musique, lisant vos fichiers multimédia.
les webcams étant connectées à votre ordinateur personnel(PC).
Note
Les périphériques vidéo n'incluent pas votre carte graphique.
Le panneau d'informations affiche les informations du périphérique quand vous en choisissez un. Les deux premières informations sont toujours :
Produit : : le nom du périphérique.
Fabricant : : le nom du fabricant du périphérique.
Les sujets d'informations suivants dépendent du périphérique choisi. Ils sont nommés de façon explicite pour faciliter la compréhension. Les titres d'informations peuvent être choisis et copiés.
Note
Processeurs Fréquences maximales : Les sujets et Ensemble d'instructions pris en charge : ne sont pas en général traités par Solid.
Note
Les catégories principales de la liste des périphériques n'affichent aucune information.
Cette page affiche les informations concernant les canaux de requête d'interruption utilisés et les périphériques qui les utilisent.
Un IRQ est un canal matériel utilisé dans un PC par les périphériques (bus ISA) tels que les claviers, les modems, les cartes son, etc., pour envoyer des signaux d'interruption au processeur pour lui dire que le périphérique est prêt à envoyer ou à accepter des données. Malheureusement, il n'y a que 16 canaux IRQ (0-15) disponibles dans l'architecture i386 (PC) que doivent se partager les différents périphériques ISA.
Beaucoup de problèmes de matériel sont le résultat de conflits IRQ, lorsque deux périphériques essaient d'utiliser le même IRQ, ou lorsque le logiciel est mal configuré et utilise un canal IRQ différent de celui pour lequel il est configuré.
Note
L'information exacte qui est affichée dépend du système. Sur certains systèmes, l'information IRQ ne peut pas encore être affichée.
Sous Linux®, cette information est lue depuis /proc/interrupts
, qui n'est disponible que si le pseudo-système de fichiers /proc
est compilé dans le noyau.
La première colonne est le numéro du canal IRQ. La seconde colonne est le nombre d'interruptions qui ont été reçues depuis le dernier redémarrage. La troisième colonne montre le type de l'interruption. La quatrième identifie le périphérique assigné à cette interruption.
L'utilisateur ne peut modifier aucun réglage sur cette page.
Cette page affiche des informations sur les canaux DMA (Direct Memory Access). Un canal DMA est une connexion directe qui permet au matériel de transférer des données vers et depuis la mémoire sans passer par le processeur. Habituellement, les systèmes à base de i386 (PC) ont huit canaux DMA (0-7).
Note
Les informations affichées dépendent du système. Sur certains systèmes, on ne peut pas encore afficher les informations sur les canaux DMA.
Sur Linux®, cette information est lue dans /proc/dma
, qui n'est disponible que si le pseudo-système de fichiers /proc
est compilé dans le noyau.
Une liste de tous les canaux DMA actuellement enregistrés (bus ISA) qui sont utilisés est affichée. La première colonne montre le canal DMA et la seconde colonne montre le matériel qui utilise ce canal.
Les canaux DMA non utilisés ne sont pas listés.
L'utilisateur ne peut modifier aucun réglage sur cette page.
Ce module vous permet de voir les périphériques attachés grâce à vos connecteurs USB.
Ce module ne fait que donner des informations.
Ce module affiche des informations sur les ports d'entrées / sorties.
Les ports d'entrées / sorties sont des adresses mémoire utilisées par le processeur pour communiquer directement avec un périphérique qui vient de lui envoyer une requête d'interruption.
L'échange de commandes ou de données entre le processeur et le périphérique se fait par l'adresse du port d'entrées / sorties du périphérique, qui est un nombre hexadécimal. Deux périphériques ne peuvent pas utiliser le même port d'entrées / sorties. Beaucoup ont comme port d'entrées / sorties une plage de nombres hexadécimaux, ce qui signifie qu'ils utilisent en fait plusieurs adresses.
Note
Le détail des informations affichées dépend de votre système d'exploitation. Dans certains cas elles peuvent ne pas être affichées du tout.
Sous Linux® ces informations sont tirées de /proc/ioports
qui n'existe que si le pseudo-système de fichiers /proc
est compilé dans le noyau. Ce fichier contient alors la liste de toutes les plages de ports d'entrées / sorties en cours d'utilisation.
La première colonne contient les adresses des ports d'entrées / sorties (ou les plages d'adresses), et la seconde les noms des périphériques utilisant ces ports.
L'utilisateur ne peut modifier aucun réglage sur cette page.
Cette page affiche les informations concernant le bus PCI et les cartes PCI installées, ainsi que les autres périphériques qui utilisent le bus Peripheral Component Interconnect (PCI).
Note
L'exactitude des informations affichées ici dépend du système. Sur certains systèmes, les informations PCI ne peuvent pas être affichées.
Sur Linux®, cette information est lue dans /proc/pci
, qui est disponible seulement si le pseudo-système de fichiers /proc
est compilé dans le noyau. Est affichée une liste de tous les périphériques PCI trouvés pendant l'initialisation du noyau et leur configuration.
Chaque ligne commence par les numéros de bus, de périphérique et de fonction.
L'utilisateur ne peut modifier aucun réglage sur cette page.

Cette page affiche des informations sur les interfaces réseau installées sur votre ordinateur.
Note
L'information exacte affichée est dépendante du système. Sur certains, cette information ne peut pas encore être affichées.
L'utilisateur ne peut modifier aucun réglage sur cette page.
Le moniteur de l'état de Samba et NFS est une interface aux programmes smbstatus et showmount. Le programme « Smbstatus » vous informe sur les connexions Samba courantes. Il fait partie de la suite des outils Samba constituant le protocole SMB (Server Message Block), appelé aussi « NetBIOS » ou « LanManager ».
Ce protocole peut être utilisé pour fournir des services de partage des imprimantes ou des lecteurs sur un réseau comportant des machines fonctionnant avec différentes versions de Microsoft® Windows®.
showmount fait partie de l'ensemble des logiciels NFS, acronyme pour « Network File System », soit système de fichiers en réseau. C'est la méthode habituelle sous UNIX® pour partager des dossiers sur un réseau. Dans ce cas, la sortie de showmount -a localhost
est analysée. Sur certains systèmes,la commande « showmount » est présente dans le répertoire /usr/sbin
. Veuillez vérifier la présence de « showmount » dans votre variable d'environnement PATH
.
Dans ce module, vous pouvez voir une grande liste affichant toutes les connexions aux partages Samba et les exportations NFS de votre ordinateur. La première colonne vous indique si la ressource est un partage Samba (SMB) ou une exportation NFS. La deuxième colonne présente le nom des partages, la troisième les noms des hôtes distants accédant à ce partage. Les colonnes restantes ne sont utiles que pour les partages Samba.
La quatrième colonne indique le nom d'utilisateur (ID) de celui qui accède à ce partage. Notez que celui-ci n'est pas forcément identique à son ID d'utilisateur pour la connexion sous UNIX®. La même remarque s'applique pour la colonne suivante qui affiche l'ID du groupe de l'utilisateur.
Toute connexion à l'un de vos partages est gérée par un seul processus (smbd), la colonne suivante montre le numéro d'identification (ID) du processus (pid) de ce smbd. Si vous tuez ce processus, l'utilisateur connecté sera déconnecté. Si l'utilisateur distant travaille sous Windows®, un nouveau processus sera créé dans la foulée et ainsi l'utilisateur ne se rendra pratiquement compte de rien.
La dernière colonne indique combien de fichiers sont ouverts actuellement par l'utilisateur. Vous ne voyez ici que le nombre de fichiers qu'il a ouverts à ce moment précis, vous ne voyez pas combien il en a précédemment copiés ou ouverts etc.
Vous verrez ici quels partages Samba et NFS provenant d'autres hôtes sont montés sur votre système local. La première colonne indique s'il s'agit d'un partage Samba ou NFS. La seconde colonne présente le nom du partage et la troisième le point de montage.
Les partages NFS montés que vous devriez voir sous Linux® (cela a été testé). Cela devrait aussi fonctionner sous Solaris™ (cela n'a pas été testé).
Cette page présente le contenu de votre journal local Samba, d'une façon conviviale. Lorsque vous ouvrez cet onglet, la liste sera vide. Vous devez cliquer sur le bouton , le fichier du journal de Samba sera alors lu et les résultats seront affichés. Veuillez vérifier que le fichier du journal Samba sur votre système est vraiment dans le dossier indiqué dans la ligne de commandes. S'il est situé ailleurs ou s'il a un autre nom que celui indiqué, veuillez le corriger. Après avoir modifié le nom du fichier, vous devez cliquer à nouveau sur le bouton .
Samba enregistre ses actions suivant le niveau d'historique (Consultez le fichier smb.conf
). Si ce niveau est défini à 1, Samba n'écrit dans le journal que les informations de connexion d'une personne et de sa déconnexion de votre machine. Si le niveau est défini à 2, il consigne aussi toute ouverture et fermeture de fichier. Si le niveau d'historique est défini au delà de 2, encore plus de renseignements sont enregistrés.
Si vous voulez savoir qui accède à votre machine et quels sont les fichiers accédés, vous devez alors paramétrer le niveau d'historique du journal à 2 et créer régulièrement un nouveau journal Samba (par exemple définir une tâche cron qui va déplacer une fois par semaine votre journal Samba courant dans un autre dossier ou quelque chose comme cela). Sinon, votre journal Samba peut devenir très gros.
À l'aide des quatre cases à cocher situées sous la grande liste, vous pouvez décider quels évènements afficher dans la liste. Vous devez cliquer sur le bouton pour voir les résultats. Si le niveau d'historique de Samba est trop bas, vous ne verrez rien.
En cliquant sur l'en-tête d'une colonne, vous pouvez trier la liste selon le critère correspondant à cette colonne.
Dans cet onglet, vous pouvez filtrer le contenu de la troisième page pour certaines caractéristiques.
Prenons comme exemple le cas où le champ Événement (pas celui de la liste) indique Connexion
, Service / Fichier indique *
, Hôte / Utilisateur indique *
, Information étendue sur le service et Information étendue sur l'hôte ne sont pas cochées.
Si vous cliquez maintenant sur , vous verrez combien de fois une connexion a été ouverte pour partager *
(c'est-à-dire pour n'importe quel partage) depuis l'hôte *
(c'est-à-dire depuis n'importe quel hôte). Maintenant, activez Afficher une information étendue sur l'hôte et cliquez sur à nouveau. Vous verrez alors pour chaque hôte qui correspond au joker *
, combien il a ouvert de connexions.
Maintenant, veuillez appuyer sur .
Réglez maintenant le champ Événement sur Accès aux fichiers et activez Information étendue sur le service puis cliquez à nouveau sur .
Vous verrez maintenant combien de fois on a accédé à chaque fichier. Si vous activez aussi Information étendue sur l'hôte, vous verrez combien de fois chaque utilisateur a ouvert chaque fichier.
Dans les lignes Service / Fichier et Hôte / Utilisateur, vous pouvez utiliser les jokers *
et ?
de la même façon que vous les utilisez dans la ligne de commande. Les expressions rationnelles ne sont pas reconnues.
En cliquant sur l'en-tête d'une colonne, vous pouvez trier cette liste selon le critère correspondant à cette colonne. De cette façon, vous pouvez vérifier quel fichier a été ouvert le plus souvent ou quel utilisateur a ouvert la plupart des fichiers, par exemple.
Copyright 2000 du module par Michael Glauche et Alexander Neundorf (neundorf AT kde.org)
Originellement écrit par Michael Glauche
Actuellement maintenu par Alexander Neundorf (neundorf AT kde.org)
Contributeurs
Conversion en une applet « KControl » :
Matthias Hölzer-Klüpfel
(hoelzer AT kde.org)
Utilisation de
K3Process
au lieu de popen et plus de recherche d'erreurs :David Faure
(faure AT kde.org)
Conversion à kcmodule, ajout des onglets pages 2, 3, 4, corrections de bogues :
Alexander Neundorf
(neundorf AT kde.org)
Documentation copyright 2000 Alexander Neundorf (neundorf AT kde.org)
Documentation traduite vers docbook par Mike McBride (no mail)
Traduction française par Yves Dessertine (kde AT yvesd.net)
, Éric Bischoff (e.bischoff AT noos.fr)
et Frederick Angelique (ti_orion AT hotmail.fr)
, relecture par Ludovic Grossard (grossard AT kde.org)
.

Quand vous ouvrez ce module dans cette section, des informations vous sont proposées. La partie gauche de la fenêtre est organisée sous la forme d'une arborescence. Certains des éléments ont un signe « + » devant. Un clic sur le signe « + » ouvre le « sous-menu » associé à cette étiquette. Un clic sur le signe « - » en face de l'étiquette fait disparaître le sous-menu.
La partie droite de la fenêtre détaille les valeurs de chacun des paramètres sur la gauche.
Les informations affichées dépendent de votre configuration.
Note
Certaines configurations rendent impossible de déterminer tout ou partie des paramètres.
Vous ne pouvez modifier aucun réglage à partir de ce menu. Il ne s'agit que d'informations.
Cet écran est utile pour obtenir des informations spécifiques sur votre compositeur « Wayland ».
Cet écran est utile pour obtenir des informations spécifiques concernant votre serveur X et la session X en cours.
Cette page affiche des informations sur une implémentation installée de OpenGL. OpenGL (Open Graphics Library, Bibliothèque graphique libre) est une interface multiplates-formes pour graphiques 3D indépendante du matériel.
GLX est la liaison pour OpenGL au système X Window
DRI (Infrastructure de rendu direct) fournit une accélération matérielle pour OpenGL. Vous devez avoir une carte graphique avec accélération 3D dont le pilote soir convenablement installé pour cette accélération.
Plus d'informations sur le site officiel « OpenGL »

Centre d'information de KDE
Programme copyright 1997-2001 Les développeurs du Centre d'information de KDE
Collaborateurs :
Matthias Hölzer-Klüpfel
(hoelzer AT kde.org)
Matthias Elter
(elter AT kde.org)
Documentation copyright 2000 Mike McBride© (no mail)
Collaborateurs :
Paul Campbell
(paul AT taniwha.com)
Helge Deller
(deller AT kde.org)
Mark Donohoe
Pat Dowler
Duncan Haldane
(duncan AT kde.org)
Steffen Hansen
(stefh AT mip.ou.dk)
.Matthias Hölzer-Klüpfel
(hoelzer AT kde.org)
Martin R. Jones
(mjones AT kde.org)
Jost Schenck
(jost AT schenck.de)
Jonathan Singer
(jsinger AT leeta.net)
Thomas Tanghus
(tanghus AT earthling.net)
Krishna Tateneni
(tateneni AT pluto.njcc.com)
Ellis Whitehead
(ewhitehe AT uni-freiburg.de)
Traduction française par Yves Dessertine (kde AT yvesd.net)
, Éric Bischoff (e.bischoff AT noos.fr)
et Frederick Angelique (ti_orion AT hotmail.fr)
, relecture par Ludovic Grossard (grossard AT kde.org)
.
Cette documentation est soumise aux termes de la Licence de Documentation Libre GNU (GNU Free Documentation License).
Ce programme est soumis aux termes de la Licence Générale Publique GNU (GNU General Public License).